Les idées
reçues !
« Biocoop, c’est une grande multinationale comme les autres ! »
Grande coopérative, oui, multinationale, … non. Pour plusieurs raisons : déjà, Biocoop n’est présent qu’avec deux magasins répartis dans deux pays étrangers : Monaco et Andorre, et n’est présent qu'en France métropolitaine.
Les magasins sont répartis en 4 zones régionales. Pour le magasin Biocoop Ardennes, c’est le « centre nord-est ». La coopérative est composée de groupements de producteurs paysans associés, de salariés des magasins et de la coopérative, mais aussi par des consommateurs réunis en associations de consommateurs !
Pourquoi nous faire confiance ?
Déjà, nous jouons le jeu en magasin : tous les fournisseurs sont sélectionnés pour leur « relation » avec la Bio. Nous soutenons également les producteurs qui sont en transition, et tout produit d'un producteur en conversion sera clairement mentionné comme tel en rayon.
Ensuite, tous les magasins Biocoop sont doublement contrôlés : ils ont un label Bio et le cahier des charges du réseau Biocoop.
Le bio, ça ne peut pas vraiment exister !
Le bio, peut-être, mais la bio : ho que si ! Nous avons pour ambition de réaliser en partenariat avec les producteurs et productrices locaux des actions de sensibilisation à la production biologique et à ses métiers. Comment on la produit, quelle est par exemple la journée d'un paysan maraîcher ou celle d'un producteur de lait... car les missions des agriculteurs et agricultrices, en bio de surcroît, sont nombreuses, et ne se résument pas à une certification ! La Bio n'est pas un label. La Bio est un ensemble de techniques agro-écologiques. D'autres la nomment philosophie, une philosophie concrète, au bénéfice de toutes et tous.
Certains agriculteurs sont plus bio que les certifiés bio !
Très certainement oui. Mais en terme de transparence, on ne peut pas le prouver, le mieux est de pouvoir le communiquer directement à ses clients ! Certains refusent même d'être certifiés : pourquoi devoir payer pour être labellisés et prouver que ce que l'on fait est sain, tandis qu'il n'existe pas de labellisation pour les produits « au pétrole » ?! Pourvu qu'il ne trompe pas les consommateurs, c'est un choix qui revient aux producteurs et qui est respectable quelle que soit l'issue de ce choix.
Grande coopérative, oui, multinationale, … non. Pour plusieurs raisons : déjà, Biocoop n’est présent qu’avec deux magasins répartis dans deux pays étrangers : Monaco et Andorre, et n’est présent qu'en France métropolitaine.
Les magasins sont répartis en 4 zones régionales. Pour le magasin Biocoop Ardennes, c’est le « centre nord-est ». La coopérative est composée de groupements de producteurs paysans associés, de salariés des magasins et de la coopérative, mais aussi par des consommateurs réunis en associations de consommateurs !
Pourquoi nous faire confiance ?
Déjà, nous jouons le jeu en magasin : tous les fournisseurs sont sélectionnés pour leur « relation » avec la Bio. Nous soutenons également les producteurs qui sont en transition, et tout produit d'un producteur en conversion sera clairement mentionné comme tel en rayon.
Ensuite, tous les magasins Biocoop sont doublement contrôlés : ils ont un label Bio et le cahier des charges du réseau Biocoop.
Le bio, ça ne peut pas vraiment exister !
Le bio, peut-être, mais la bio : ho que si ! Nous avons pour ambition de réaliser en partenariat avec les producteurs et productrices locaux des actions de sensibilisation à la production biologique et à ses métiers. Comment on la produit, quelle est par exemple la journée d'un paysan maraîcher ou celle d'un producteur de lait... car les missions des agriculteurs et agricultrices, en bio de surcroît, sont nombreuses, et ne se résument pas à une certification ! La Bio n'est pas un label. La Bio est un ensemble de techniques agro-écologiques. D'autres la nomment philosophie, une philosophie concrète, au bénéfice de toutes et tous.
Certains agriculteurs sont plus bio que les certifiés bio !
Très certainement oui. Mais en terme de transparence, on ne peut pas le prouver, le mieux est de pouvoir le communiquer directement à ses clients ! Certains refusent même d'être certifiés : pourquoi devoir payer pour être labellisés et prouver que ce que l'on fait est sain, tandis qu'il n'existe pas de labellisation pour les produits « au pétrole » ?! Pourvu qu'il ne trompe pas les consommateurs, c'est un choix qui revient aux producteurs et qui est respectable quelle que soit l'issue de ce choix.